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La question de Fanny Perrinjaquet (supportrice du hcc) – Que penses-tu de l’engagement des gardiens étrangers en Suisse ?

Il est bien clair que je n’apprécie pas particulièrement de voir des gardiens étrangers arriver dans le championnat. Les places sont rares. Il y a déjà beaucoup de bons gardiens en Suisse.

Ce soir, nous recevons Rapperswil, avec qui tu as joué et nous a éliminé en demi-finale l'an dernier. As-tu un sentiment particulier en affrontant cette équipe ?

On a toujours envie de briller face à un ancien employeur, et ce d’autant plus si celui-ci nous a effectivement fait quelques misères sur la glace la saison dernière. Ceci dit, le HC La Chaux-de-Fonds est ma nouvelle maison et Rapperswil fait désormais partie du passé même si j’apprécierais que l’on redevienne leur bête noire. Je suis de toute façon toujours prêt à donner le meilleur de moi-même, et ce quel que soit l’adversaire. 

La saison dernière, la désignation d’un gardien numéro un a pris du temps. Cette saison, il semble que les choses soient plus claires. Est-ce une pression supplémentaire ?

Oui, c’est une pression supplémentaire. Mais un professionnel a toujours envie de jouer tous les matchs. Je voulais être un titulaire indiscutable dans le club. Je prends donc cette pression comme un élément positif qui doit aussi me permettre de progresser encore.

Après un premier contrat d’une année, tu as prolongé, mais pour deux ans. Les ambitions du HCC t’ont-elles séduites ?

Si j’ai accepté de rester, c’est que le projet du club m’a séduit. Le HC La Chaux-de-Fonds n’est pas seulement un club ambitieux, c’est aussi un club de tradition au sein duquel je me sens bien. Il était dès lors très facile de prolonger une nouvelle entente et j’espère bien faire honneur à la confiance que le club m’a accordé en me proposant cette prolongation.