Skip to main content

La question de Fred – Quelles sont tes ambitions personnelles pour la suite de ta carrière ?
J’aimerais bien gagner un titre avec le HC La Chaux-de-Fonds, c’est une évidence en tant que joueur formé au club. Pour cela, je vais donner le meilleur de moi-même et ne jamais calculer.

Ce soir, nous accueillons les Ticino Rockets. Chez eux, il est prévu de jouer à la Valascia. Est-ce que cela suscite des envies, éventuellement en toute fin de saison ?
En fait, j’ai déjà eu l’occasion de jouer dans cette patinoire mythique avec les Juniors élites du HCC. Donc cela ne m’évoque rien de spécial. Quel que soit l’endroit d’ailleurs.

Ta ligne avec Simon Sterchi et Dominic Forget fait parler la poudre en ce début de saison. C’est l’habitude de jouer ensemble ?
Alex Reinhard a effectué quelques changements durant les matchs de préparation, mais il nous a finalement mis à nouveau ensemble. C’est un signe que les performances de la saison dernière ont été reconnues. Il est vrai que notre ligne connaît passablement de réussite en ce début de saison, mais c’est aussi le fruit d’un travail constant entre nous et cela fini par payer, ce qui est réjouissant et plutôt gratifiant.

Faut-il être polyglotte pour comprendre ce qui se passe dans le vestiaire du HCC ?
Personnellement, je parle très mal l'allemand. Il faut relever que nos joueurs suisses-allemands parlent tous plus ou moins bien le francais. John McFarland et maintenant Eric Himelfarb quant à eux parlent en anglais, mais cela ne pose pas vraiment de problème, le langage du sport est universel. 

As-tu des habitudes alimentaires spécifiques ?
Je me nourris normalement, mais en tant que sportif professionnel, je fais attention à ce que je mange. Je ne mangerai pas de croissant le matin par exemple et j’évite toutes les cochonneries, mais je n’ai pas vraiment une alimentation spécifique, de type « pas de gluten ».

Tu travailles dans l’entreprise familiale, à quel pourcentage et cela signifie-t-il que ton avenir (lointain) est déjà tracé ?
C’est exactement cela. Durant la saison, je travaille à raison de 30 à 35 %. J’augmente à 40 % durant l'été. On verra comment les choses évoluent mais c’est déjà positif d’avoir un pied dans l’entreprise.