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Tu as été formé à Lugano puis a pris la direction de Zurich, comment arrive-t-on au HCC ?

J’ai été formé à Lugano jusqu’à l’âge de 16 ans. J’ai ensuite voulu continuer non seulement à me former sur un plan sportif, mais également apprendre
les langues. C’est par un ami de la famille que j’ai pris la décision, avec mes parents, d’aller du côté de Zurich. Après avoir terminé les classes juniores et deux saisons en Swiss League, il me fallait sortir d’une zone de confort en
recherchant un nouveau défi pour continuer à m’améliorer. Christian Weber a manifesté son intérêt et c’est ainsi que je suis arrivé au HCC dans un premier temps sous un contrat à l’essai avant d’être engagé pour la saison 2017/18.

Ton intégration se passe bien ?

Absolument et d’autant plus que je retrouve ce que je cherchais. Aux GCK, seuls quatre joueurs étaient plus âgés que moi. Ici, je me trouve sur la glace avec des gars qui savent ce que représente le métier de hockeyeur et auprès desquels j’apprends énormément. Je dois travailler très fort pour obtenirma place et cela me pousse et m’oblige à sortir tous les jours de ma zone de confort.

Ce soir, on accueille un club que tu connais bien, comment te sens-tu face à eux ?

Ce match est très important dans la mesure où je veux montrer aux dirigeants zurichois les progrès effectués depuis que je suis parti et que j’ai acquis une nouvelle mentalité au sein du HCC.

Quelques mots sur la relation de l’équipe zurichoise  et de ses quelques supporters ?

Il est vrai les GCK sont suivis à la maison par les familles et les copines des joueurs. 

A l’extérieur, ce sont cinq à six supporters qui sont très fidèles et qui suivent l’équipe absolument partout. Ils aiment ce club de façon très émotionnelle et n’iront jamais voir les ZSC Lions, par exemple.